Avec 200 tonnes de légumes importés par an à Wallis et Futuna, soit 40 millions de francs pacifique (XPF), la demande de produits locaux ne fait qu’augmenter. Cependant la production est insuffisante pour satisfaire la clientèle.
Chaque famille plante et cultive ses propres légumes, principalement de l’igname et du tarot, mais cela n’empêche pas quelques maraîchers d’essayer de développer leur secteur. Par exemple, le projet GIJ, mis en place par la CCIMA, (Chambre de Commerce de l'Industrie des Métiers et de l’Agriculture) a pour but de promouvoir les métiers de la terre aux jeunes générations et de les lancer dans le secteur primaire.
Après cinq mois, le GIJ en est déjà à sa troisième vente de légumes. Il propose à ses clients une production locale 100% bio qui est encore plus en demande.
Source : FranceInfo