Abonnez-vous à notre lettre d'information quotidienne pour vous tenir informé(e) des dernières actualités!

S'abonner Je me suis déjà inscrit(e)

Comme nous donnons la possibilité de consulter nos articles gratuitement, nous comptons sur les revenus de nos bannières publicitaires. Merci donc de désactiver votre bloqueur de publicités et de réactualiser la page pour pouvoir poursuivre votre visite sur ce site.

Cliquez ici pour savoir comment désactiver votre bloqueur de publicité.

Sign up for our daily Newsletter and stay up to date with all the latest news!

S'abonner I am already a subscriber
BLE - Semaine 27 (Allemagne) :

La disponibilité des fraises s'est légèrement réduite

Les fraises nationales ont visiblement dominé les activités. Les arrivages en provenance des Pays-Bas, de Pologne et de Belgique ont suivi en termes d'importance, mais tous ont eu un caractère complémentaire.

Globalement, la disponibilité s'est quelque peu réduite. Selon le BLE, l'intérêt s'est montré chaleureux. Les cotations ont donc de nouveau augmenté en raison de la diminution des disponibilités. Une large fourchette de prix s'est également établie à diverses reprises, les lots exclusifs étant rares et les lots en piètre condition ne pouvant être placés qu'avec des rabais accordés. En somme, les prix étaient plutôt à la hausse qu'à la baisse. À ce stade de la saison, ils sont plus élevés que les années précédentes.

Mais on a également observé des réductions liées à une demande limitée. À Francfort, les produits belges et néerlandais étaient coûteux par rapport aux produits locaux, ce qui a entraîné un ralentissement des ventes. On y trouvait également des Elsanta belges de petit calibre, de 20 à 22 mm, dont le goût acide a rencontré peu d'écho.

Cliquez ici pour accéder au rapport complet sur le marché et les prix (en allemand).

Pommes
La Nouvelle-Zélande a mis l'accent sur la Braeburn, la Royal Gala et la Jazz, tandis que le Chili a essentiellement commercialisé la Royal Gala, la Pink Lady et l'Elstar. Des Kanzi et des Granny Smith sud-africaines sont venues compléter l'assortiment d'outre-mer. L'intérêt a pu être satisfait sans difficulté. Du point de vue des prix, les choses n'ont pas trop bougé.

Poires
Les importations sud-africaines et chiliennes ont dominé le marché, celles d'Argentine l'ont complété. Quelques offres turques, néerlandaises et belges étaient également disponibles. L'assortiment n'était pas particulièrement important. Il a toutefois suffi à combler la maigre demande.

Raisins de table
Les arrivages italiens sont devenus prédominants, les variétés Victoria et Black Magic constituant la base de l'assortiment. La variété Arra 30 a perdu de sa pertinence, tandis que la Starlight, la Sugraone et la Millenium sont devenues plus populaires. La présence des produits espagnols s'est étendue.

Abricots
L'offre a été particulièrement variée : les arrivages espagnols ont dominé, les arrivages turcs, français et italiens sont venus compléter l'offre. Certains lots ont été déchargés en provenance de Moldavie, de Grèce, de Hongrie et de Pologne. Les produits nationaux ont été relativement onéreux, même s'ils ont suscité une belle attention.

Cerises
Les cargaisons espagnoles, jusqu'alors prédominantes, ont visiblement perdu de leur importance, les fruits nationaux ayant entre-temps pris la tête de l'assortiment. Les Napoléon turcs ont été les plus recherchés. Les arrivages de Belgique, de Grèce et d'Italie ont eu un caractère complémentaire.

Pêches/nectarines
Une offre diversifiée, avec des lots espagnols en tête, a été proposée aux clients. Des arrivages d'Italie et de France sont venus compléter la palette de produits, qui a été enrichie par des arrivages grecs et turcs. Les prix n'ont pas singulièrement changé.

Prunes
Les variétés Cacak de Bosnie-Herzégovine, vendues sous la marque Lepotica, et les variétés Cacak de Serbie ont joué un rôle-clé aux côtés des lots locaux. Parmi les fruits allemands, la présence de Katinka s'est nettement étendue. En parallèle, se trouvaient en priorité les Ruth Gerstetter et Herman.

Citrons
Les Primofiori espagnols ont dominé, les Eureka sud-africains sont venus compléter l'offre. La qualité a été convaincante, l'offre et la demande s'équilibrant correctement. Les cotations n'ont pas profondément évolué.

Bananes
La demande s'est parfois un peu restreinte. Les mûrisseries ont toutefois réagi en réduisant leur offre. Du point de vue des prix, il n'y a donc pas eu beaucoup d'évolution, la plupart des cotations sont restées au niveau de la semaine 26.

Chou-fleur
Les lots allemands ont visiblement dominé les événements. Ils ont été accompagnés ponctuellement par quelques chargements en provenance de Belgique, de Pologne, d'Autriche, d'Espagne et des Pays-Bas. Le temps automnal a permis d'améliorer les possibilités de stockage à certains endroits.

Salades
Pour les salades Iceberg, l'offre locale était prédominante, complétée par des lots néerlandais. Quelques lots espagnols moins chers sont également arrivés ponctuellement. Les salades pommées provenaient quant à elles d'Allemagne et de Belgique, les Pays-Bas jouant un rôle mineur uniquement à Cologne et à Francfort.

Concombres
L'assortiment de concombres serpent était constitué de lots nationaux, néerlandais et belges. Berlin a fait état d'une offre limitée, ce qui a entraîné une hausse des prix. Sur les autres marchés, les réductions n'étaient pas rares, car la disponibilité était un peu trop abondante pour la demande.

Tomates
Les arrivages belges et néerlandais ont dominé les activités. L'Espagne et l'Italie n'ont fourni que des tomates cerises, la Pologne des tomates charnues et des tomates rondes. Les fruits locaux étaient peu disponibles, relativement chers et donc intéressants, surtout pour le commerce de détail spécialisé.

Poivrons
Les produits en provenance des Pays-Bas, de Turquie et de Belgique ont constitué la base de l'offre. Des offres italiennes, espagnoles, polonaises et nationales ont également été proposées de manière ponctuelle, mais sans dépasser le caractère complémentaire.

Source : BLE

Date de publication: