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(Espagne)

« Certains producteurs ont été plus intéressés par l'industrie cette année que par la vente de leurs oranges à l'étranger »

En cette première semaine de l'année, le passage aux agrumes de seconde saison se consolide. Dans le cas des clémentines, « il y a encore des Clemenules et d'autres variétés comme la Periquina, mais les chaînes demandent de la Tango et de la Nadorcott », explique un opérateur valencien.

« Selon d'autres producteurs, la Clemenules est en train de s'épuiser et il en reste entre une semaine et 10 jours au maximum. La voie s'ouvre également à l'exportation de mandarines vers les Etats-Unis, le Canada et le Mexique ; les mandarines Tango sont déjà envoyées régulièrement du Pérou vers le marché mexicain et cette année, l'idée des partenaires avec lesquels je travaille est de commencer la saison au Mexique avec l'Espagne et de continuer avec le Pérou lorsqu'ils commenceront leur production. »

« Après les fêtes de fin d'année, cette semaine ressemble à une période de transition au cours de laquelle nous étudions les demandes du marché. Les supermarchés ont demandé un changement de variétés et sur ce point il n'y a pas grand-chose à faire, mais il faut que les prix s'alignent car, selon certaines entreprises de la région de Castellon, les chaînes demandent Clemenvilla ou Nova, mais elles veulent les payer à 1 euro/kilo, alors qu'en Italie les prix atteignent 1,70 euros. En ce qui concerne la Tango, en Espagne, un important détaillant appartenant à un fonds d'investissement achète dans la zone de Montesa, à partir de la taille 3, à 54 centimes, bien en dessous de ce que les producteurs attendaient », poursuit l'opérateur.

« En ce qui concerne Navelina, l'industrie a payé un prix assez bon ; on parle d'environ 23 centimes par kilo, de sorte que, compte tenu des petits calibres des fruits cette année - les calibres 5, 6 et 7 sont abondants - certains producteurs ont été plus intéressés par l'industrie cette année que par le fait d'aller à l'étranger avec leurs oranges. En effet, sur les marchés traditionnels des fruits à dessert, on constate qu'il y a moins de points de vente que d'habitude à cause de ce manque de gros calibres. »

« En effet, j'attends de pouvoir commencer à exporter des Nave Late avec feuilles du Portugal et de l'Espagne, pour lesquelles on attend une très bonne qualité et de très bons calibres. »